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Interview de Wajih, Responsable VA/VE

Chaque semaine, nous allons à la rencontre de nos collaborateurs.

Wajih, Responsable VA/VE nous explique son métier.

Si tu devais définir le secteur de l’automobile tel que tu le perçois en quelques mots ?

Malgré la crise de 2008, l’automobile est un secteur en plein expansion, notamment avec l’arrivée de l’informatique et de l’électronique. Ce secteur ne cesse de se développer.

Pourrais-tu nous expliquer ton métier en utilisant le moins de termes techniques possible ?

Je suis Responsable VA/VE (Value Analysis / Value Engineer) chez un équipementier automobile, et plus précisément dans la division faisceaux électrique. Mon métier consiste à apporter des changements qui, en plus de réduire les coûts totaux, permettront d’améliorer l’efficacité des process et/ou la qualité des produits. Ces changements conduisent souvent à des innovations.  Je suis en charge d’effectuer des workshops afin d’étudier et décortiquer le produit final. Je créé des benchmarks sur les différents fournisseurs et je réalise des études et analyses techniques sur les spécifications demandées par le client. En management transversal, je suis membre de l’équipe advance engineering dans le Bureau d’Etudes et les équipes dans les usines pour piloter et suivre les tests de faisabilité. Je suis en contact direct avec les départements : achats, qualité et process.

Quelle est ta journée type et qu’est-ce qui te motive au quotidien ?

Une journée type, je n’en ai pas spécialement, chaque jour a son histoire.
Habituellement, mes journées se passent entre réunion et conférence call, pour le suivi et le pilotage des projets en cours, ou pour le partage de nouvelles idées et opportunités qui pourraient se concrétiser et nous permettre des réductions de coût sur le produit final. Ma meilleure journée est lorsque je reçois l’accord du client final (constructeur automobile) en me confirmant que nous pouvons appliquer en production une idée que j’ai proposé auparavant.

J’apprécie particulièrement le secteur de l’automobile car auparavant, j’exerçais ma fonction dans la pétrochimie et le pétrole. Ce qui me motive c’est qu’un jour je puisse trouver une idée innovante apportant une amélioration à l’automobile. C’est un rêve d’un petit garçon !

Pourrais-tu nous citer une phrase que vous employez régulièrement et qui est difficile à comprendre ?

Voici une expression avec un terme que je n’avais pas compris au début. Cette procédure n’est utilisée que rarement : « Who decided to go on this conn with 4F? and why don’t we have any derog or dev  from customer ? »

Est-ce que tu connaissais le monde du conseil ? Quelle image en avais-tu ? et qu’est-ce que le conseil t’apporte aujourd’hui ?

J’ai obtenu mon diplôme d’ingénieur au Maroc en 2008. Je ne connaissais pas tellement le monde du conseil dans le secteur industriel. J’ai découvert le consulting en France lors de ma 1ère expérience professionnelle. Je trouve que c’est un monde à part. Lorsque nous sommes des jeunes diplômés, le conseil permet d’effectuer plusieurs missions, d’avoir de l’expérience, de toucher à différents corps de métier, et de voir toutes sortes de problématiques. Je suis satisfait car j’ai pu acquérir de nouvelles compétences.

Quels avantages vois-tu à faire partie de DAVRICOURT ?

L’avantage c’est que nous faisons partie d’une équipe jeune et dynamique. Je trouve que chez DAVRICOURT, nous sommes plus une famille qu’une entreprise. Il y a ce côté humain que nous ne retrouvons pas dans les autres sociétés de conseil.

 

 

Retrouvez l’interview d’Ariya, Chargée de communication

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