Chaque semaine, nous allons à la rencontre de nos collaborateurs.
Mickaël, Ingénieur Design nous confie les ficelles de son métier.
Si tu devais définir le secteur de l’automobile tel que tu le perçois en quelques mots ?
C’est un secteur exigeant au niveau qualité. Les impératifs des projets avec les constructeurs automobiles impliquent des délais serrés ce qui cause une certaine pression. Cependant de cette pression découle de l’action, et le fait d’être souvent dans l’action rend le travail intéressant et stimulant.
Pourrais-tu nous expliquer ton métier en utilisant le moins de termes techniques possible ?
Je suis Ingénieur Design sur les systèmes de dépollution pour un équipementier automobile. Mon métier consiste à développer des systèmes de dépollution des véhicules diesel en partant d’un environnement et d’un cahier des charges donnés par le constructeur. La subtilité réside dans le fait de concilier les différents acteurs du projet pour obtenir un produit viable, robuste et répondant aux exigences. Les contraintes peuvent être d’industrialisation, de robustesse, de validation ou de tenue au cahier des charges. Je suis en interaction directe avec de nombreuses personnes en interne (Qualité, Industrialisation, Designers, Ingénieurs essais…) mais également avec les fournisseurs et les contacts techniques chez le client. .
Quelle est ta journée type et qu’est-ce qui te motive au quotidien ?
Il n’y a pas de journée type, cela varie en fonction de l’avancée du projet. Certains jours, je vais rédiger des plans, d’autres jours, suivre des 3D. Je dois régulièrement trouver des solutions techniques à divers problèmes. Pour cela il faut faire preuve de créativité mais également être capable d’interroger les bonnes personnes pour trouver la meilleure solution.
Ce qui me motive c’est de partir du début d’un projet et d’avancer étape par étape. Tout d’abord on conçoit la pièce, puis on fabrique les premiers prototypes sur lesquels on vérifie le bon fonctionnement. Ça suscite un sentiment de satisfaction lorsque ça fonctionne grâce au travail effectué quelques semaines plus tôt.
Pourrais-tu nous citer une phrase que vous employez régulièrement et qui est difficile à comprendre ?
Comme dans le système de dépollution l’urée gèle à -11°C et gonfle en gelant, il faut laisser un volume d’expansion de 15% dans le tank. Donc 15% de volume vide au-dessus de la pipette de dégazage.
Est-ce que tu connaissais le monde du conseil ? Quelle image en avais-tu ? et qu’est-ce que le conseil t’apporte aujourd’hui ?
Mon école ne m’a communiqué aucune information sur le monde du conseil. Après avoir fini mes études, ces entreprises sont entrées en contact avec moi et je me suis renseigné sur internet. Les avis étaient généralement négatifs, ce qui était rebutant ! Puis j’ai eu un premier contact positif avec DAVRICOURT Consulting. J’ai donc accepté de commencer ma 1ère mission avec eux chez un équipementier automobile en tant qu’ingénieur produit sur les airbags rideaux.
Le conseil m’apporte de la mobilité et surtout de la flexibilité. Par exemple, après 1an et demi sur la même mission, j’ai émis le souhait à DAVRICOURT Consulting de connaître un nouvel environnement. Ma demande a été prise en compte rapidement et de nouvelles opportunités m’ont été proposées. Aujourd’hui je travaille sur un nouveau poste qui m’intéresse plus et je suis complètement satisfait.
Quels avantages vois-tu à faire partie de DAVRICOURT ?
Chez DAVRICOURT, j’ai le sentiment d’être écouté. Le fait d’avoir facilement changé de mission en est la preuve. Les points de suivi des consultants sont également un point fort car j’apprécie avoir un retour régulier sur mon travail. J’ai toujours une réponse rapide lorsque je pose une question à la direction ou à l’équipe administrative, ce qui est agréable. J’apprécie également les activités ludiques et festives que l’on propose mensuellement aux collaborateurs de DAVRICOURT ainsi que les soirées annuelles. Cette partie événementielle n’est pas présente dans toutes les sociétés et c’est très plaisant de profiter de celà !
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