Chaque semaine, nous allons à la rencontre de nos collaborateurs.
Julie, ingénieur Prévention des Risques et Environnement nous fait découvrir son métier.
Si tu devais définir le secteur du sport automobile tel que tu le perçois en quelques mots ?
Ce secteur est différent de tous les autres car les employés sont tous passionnés par leur métier. Nous travaillons tous pour le même objectif : faire que la voiture soit performante pour le Grand Prix du week-end. Les employés travaillent pour gagner.
Pourrais-tu nous expliquer ton métier en utilisant le moins de termes techniques possible ?
Je suis Ingénieur Prévention des Risques et Environnement chez un constructeur automobile qui développe des moteurs de Formule 1. Je suis chargée de toute la prévention santé et sécurité des salariés. Cette prévention comprend les risques électriques, chimiques, incendies, etc. Je dois analyser chaque risque et mettre en place des actions pour diminuer l’apparition du risque. Pour cela, j’effectue l’analyse des risques sur le site client et en piste.
Ma seconde mission est liée à l’environnement. Le constructeur automobile est certifié ISO 14001. Pour maintenir cette certification, nous devons constamment nous améliorer au niveau des déchets, de la pollution de l’air, de l’eau et des sols. Je fais régulièrement de la veille réglementaire.
Quelle est ta journée type et qu’est-ce qui te motive au quotidien ?
Je n’ai pas de journée type. Par exemple, la semaine dernière, je réalisais l’analyse de risques lors des essais à Barcelone. Cette semaine, j’ai diverses missions : la recherche de solutions pour diminuer certains risques, la sensibilisation des collaborateurs à l’évacuation incendie, la construction de module de formation pour les produits chimiques, etc. Mes missions sont variées : de la documentation jusqu’à la mise en place sur le terrain.
Ce qui me motive au quotidien se sont les challenges de mon métier : anticiper des nouveaux risques pour mettre en place des actions efficaces. Chaque jour, il y a de nouveaux produits, des nouveaux challenges !
Pourrais-tu nous citer une phrase que vous employez régulièrement et qui est difficile à comprendre ?
Pour le TMD, il faut regarder l’ADR ou IATA.
Est-ce que tu connaissais le monde du conseil ? Quelle image en avais-tu ? et qu’est-ce que le conseil t’apporte aujourd’hui ?
Je connaissais le monde du consulting à ma sortie d’école d’ingénieur mais je n’avais aucun a priori. J’ai pour mission également de mettre en place les plans de prévention donc je suis en contact direct avec les sociétés de conseil. Ainsi, je constate qu’il y a une réelle différence entre les grosses sociétés à la « chaine » et les « familiales ».
Quels avantages vois-tu à faire partie de DAVRICOURT ?
Déjà l’avantage est la réactivité de l’équipe administrative. Les réponses sont instantanées et l’équipe très accessible. Ce qui est difficile dans le consulting c’est de pouvoir intégrer les collaborateurs dans la société de conseil et chez le client. DAVRICOURT a donc l’avantage de vouloir créer un sentiment d’appartenance. Et c’est très agréable !